comptabilité
Ebook gratuit "Le Guide 2017 du Créateur de start-up: des statuts '
Par
|Par Gaëtane |
La comptabilité est un outil de gestion quotidienne permettant de connaître, à chaque instant, la santé financière de sa société, ainsi que ses performances. Des informations diverses, telles que les dépenses, les recettes, la valeur des biens de l'entreprise, les dettes… sont saisies dans les journaux comptables. Ces derniers permettent, en fin d'année, d'établir le bilan, le compte de résultat et les annexes, et donc de répondre aux obligations légales du dépôt des comptes annuels.
Concrètement, chacun peut tenir sa comptabilité à l'aide d'un logiciel de gestion, ou faire appel à un expert-comptable. Même si la seconde option représente un coût, le temps économisé et les conseils apportés par un professionnel s'avèrent généralement bénéfiques. Dans tous les cas, le bilan (composé de l'actif et du passif de la société), le compte de résultat (permettant de déterminer le bénéfice ou la perte de l'exercice), ainsi que les annexes, doivent être édités tous les ans. Après leur approbation par les associés et leur dépôt au greffe, ces éléments sont rendus publics, sauf en cas de déclaration de confidentialité.
Le régime simplifié d'imposition s'applique si deux des trois critères suivants sont remplis : chiffre d'affaires inférieur à 8 millions d'euros, bilan inférieur à 4 millions d'euros et nombre de salariés inférieur à 50. Le bilan, le résultat et les annexes peuvent être alors moins détaillés, mais l'approbation des comptes demeure néanmoins obligatoire.
"Neque porro quisquam est qui dolorem"
La comptabilité est un outil de gestion quotidienne permettant de connaître, à chaque instant, la santé financière de sa société, ainsi que ses performances. Des informations diverses, telles que les dépenses, les recettes, la valeur des biens de l'entreprise, les dettes… sont saisies dans les journaux comptables. Ces derniers permettent, en fin d'année, d'établir le bilan, le compte de résultat et les annexes, et donc de répondre aux obligations légales du dépôt des comptes annuels.
Concrètement, chacun peut tenir sa comptabilité à l'aide d'un logiciel de gestion, ou faire appel à un expert-comptable. Même si la seconde option représente un coût, le temps économisé et les conseils apportés par un professionnel s'avèrent généralement bénéfiques. Dans tous les cas, le bilan (composé de l'actif et du passif de la société), le compte de résultat (permettant de déterminer le bénéfice ou la perte de l'exercice), ainsi que les annexes, doivent être édités tous les ans. Après leur approbation par les associés et leur dépôt au greffe, ces éléments sont rendus publics, sauf en cas de déclaration de confidentialité.
Le régime simplifié d'imposition s'applique si deux des trois critères suivants sont remplis : chiffre d'affaires inférieur à 8 millions d'euros, bilan inférieur à 4 millions d'euros et nombre de salariés inférieur à 50. Le bilan, le résultat et les annexes peuvent être alors moins détaillés, mais l'approbation des comptes demeure néanmoins obligatoire.
Publié le 7 novembre 2017
Le modèle comptable d’une marketplace présente avant tout un faible niveau de risque, du fait de l'absence d'avance de stocks ou de frais. N'ayant pas affaire à un système classique d’achat revente, des problèmes de comptabilité peuvent apparaître, d'où la nécessité de recourir à des experts pour gérer cette situation.
Un expert-comptable digital vous accompagne dans la gestion quotidienne de vos comptes :
Confier ces opérations à un partenaire externe ne vous dispense pas de garder le contrôle. Vous devez en effet toujours exiger un journal de réconciliation, dans lequel est regroupé l’ensemble des flux de trésorerie.
Étant lui-même digital, un expert-comptable en ligne connaît très bien les différentes problématiques liées à votre métier. Cet article du "Parisien Eco" expose bien cette réalité. L'une des principales problématiques est de proposer un choix le plus large possible de moyens de paiements à vos clients, au moment de la finalisation de leurs commandes.
Les consommateurs ont en effet bien souvent un système de paiement préféré, comme Paypal. Votre conseiller pourra ainsi vous présenter de nombreuses solutions pour vous connecter à de multiples moyens de paiement nationaux et internationaux, dans le but de satisfaire la totalité de vos clients.
Pensez également à mettre à leur disposition des facilités de règlement, par le biais d'un crédit en ligne ou d'un paiement en plusieurs fois.
N'oubliez pas de bien paramétrer votre compte Paypal ouStripe par exemple. En faisant le choix d'un paiement unique hebdomadaire (au lieu de journalier), vous réduirez grandement votre nombre de lignes comptables !
Dans tous les cas, que vous soyez autonome ou plutôt décidé à déléguer votre comptabilité à votre expert-comptable, des solutions logicielles en ligne existent pour analyser en temps réel vos mouvements de trésorerie. Vous pourrez ainsi piloter votre activité en faisant preuve d'une réactivité optimale.
Si vous devez traiter vos factures une par une, vous vous exposez à des erreurs ou omissions, ayant pour conséquence une perte d'argent et une atteinte à la réputation de votre plateforme. Un système d’automatisation des factures est la solution idéale pour réduire ces risques, en effectuant le traitement de plusieurs transactions qui ont lieu simultanément, et sur différents sites d’e-commerce.
En vous permettant de gérer votre comptabilité en ligne, votre expert-comptable digital vous fait gagner un temps précieux, indispensable pour le développement de votre marketplace.
Si vous n’êtes pas encore client MB, c’est le moment de vous lancer si vous avez besoin de :
N'hésitez pas à nous joindre directement par téléphone: 01 84 17 84 76
Par Nicolas Chabin |
Les cabinets comptables doivent être en mesure, comme dans les secteurs de la banque ou de la fiscalité, de répondre aux demandes de leurs clients concernant l'automatisation de la saisie, la transmission des documents, la gestion des fiches de paie en ligne, l'archivage numérique des documents…
Un bon expert-comptable digital a donc tout intérêt à fournir des solutions logicielles performantes et intuitives, ainsi qu'une application mobile simple à utiliser. Entouré par une équipe de professionnels (informaticien, développeur d'application…), l'expert-comptable 2.0 doit savoir s'adapter aux nouvelles technologies présentes sur le marché, afin de mettre à la disposition de ses clients des outils pour gérer leur comptabilité en temps réel.
Tous ces services sont regroupés sur un portail web sécurisé, permettant une communication simplifiée avec le client et un travail collaboratif. Il est ainsi possible d'accéder à son dossier à n’importe quel moment, y compris depuis un téléphone portable. Les transferts de documents dématérialisés se font alors de manière sécurisée et en toute confidentialité.
La digitalisation de l'expertise-comptable passe également par le fait de pouvoir proposer un service client de grande qualité, fluide, rapide et efficace. Les échanges à distance, bien que dématérialisés, restent la base de la relation entre le client et son prestataire.
Il est donc indispensable de pouvoir obtenir des réponses précises à des questions journalières simples, ou plus techniques, au travers d'un dialogue avec une personne physique compétente. La véritable plus-value apportée par un bon expert-comptable digital va donc être le niveau d'exigence de son support client.
Donner des conseils à forte valeur ajoutée
En gagnant du temps sur des tâches chronophages (saisie, contrôle et archivage des documents…), l'expert-comptable digital va pouvoir développer des services personnalisés et se consacrer à d'autres missions.
Des rendez-vous conseil peuvent ainsi permettre d'aborder en profondeur les problématiques de l'investissement et du développement, en se consacrant sur des domaines essentiels pour le client. Il est également indispensable de disposer d'outils de suivi en ligne, tels que des tableaux de pilotage et des tableaux de bord.
Vous êtes à la recherche d'un expert-comptable en ligne performant ? Nous vous proposons de nombreux services afin de simplifier votre gestion quotidienne, ainsi qu'un support client réactif et efficace !
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Par Nicolas Chabin |
Lorsque l'on débute en comptabilité, il est essentiel de comprendre les différences entre ces deux éléments.
La trésorerie a une réalité physique. Elle représente des sommes d’argent disponibles, c’est-à-dire qui appartiennent réellement à une société. Pour être clair, vous pouvez vous rendre à la banque, retirer cet argent et le "toucher" physiquement. Le cash-flow est donc l'essentiel dans une entreprise puisqu'il correspond à ce qu'il y a véritablement sur votre compte bancaire.
Le résultat, pour sa part, n'a pas d'existence réelle. C’est simplement une donnée résultant de règles comptables précises. En outre, une société peut tout à fait enregistrer une perte (résultat négatif) mais disposer par ailleurs d’une trésorerie importante.
Le résultat en comptabilité ne se base pas sur la trésorerie encaissée ou décaissée au cours de l’exercice. Les comptes reposent sur le système de l’engagement. Cette méthode est assez simple à appréhender : les charges et les produits engagés au cours de l'exercice sont comptabilisés, quelles que soient leur date d'exécution réelle.
Pour prendre un exemple concret : supposons que vous clôturez votre exercice au 31 décembre de l'année n. Vous envoyez une facture de 1.000 € à un client le 20 décembre et ce dernier ne vous paye que le 15 janvier de l'année n+1. En comptabilité, votre résultat au 31 décembre de l'année n, sera amélioré de 1.000 €. Mais votre trésorerie non, puisque vous ne serez réglé que 15 jours plus tard, en n+1.
Il existe une différence significative entre le montant de la trésorerie et le solde du résultat comptable. En effet, certaines opérations affectent seulement la trésorerie. Il s’agit par exemple des :
Les charges calculées, ou charges non-décaissables, sont totalement exclues de la trésorerie :
Les produits considérés comme non-encaissables n’augmentent pas non plus la trésorerie :
L'amortissement joue donc ici un rôle essentiel. Dans le cas d'un investissement concernant une machine d'une valeur de 30.000€, achetée le 1er janvier avec ses fonds propres et amortie sur 5 ans. L'impact sur la trésorerie est immédiat avec une sortie d'argent de 30.000€. Le matériel ne passant pas directement en charges, le compte de résultat sera impacté d'1/5 par an, soit 6.000€, pendant 5 ans.
La trésorerie et le résultat en comptabilité sont très différents. Afin de ne pas vous tromper, tenez régulièrement à jour votre tableau de bord. Vous pourrez ainsi analyser et interpréter correctement ces deux éléments.
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Par Nicolas Chabin |
En dématérialisant votre comptabilité grâce au Cloud, vous faites le choix de la sécurité, de la simplicité, mais également de la flexibilité. Votre comptabilité en ligne vous permet en effet de travailler depuis n'importe où, 24h/24, à partir d'un ordinateur, d'une tablette ou encore d'un smartphone connecté à Internet. MB&Scott vous en dit plus sur cette solution vous permettant de gagner en productivité grâce à l'automatisation de nombreuses tâches.
Le Cloud (nuage en français) est une solution informatique basée sur la puissance de stockage et de calcul de serveurs informatiques distants (les datacenters). Ceux-ci sont accessibles via un réseau, le plus souvent Internet. Le Cloud permet ainsi de "louer" de l'espace de stockage à la demande, en fonction de ses besoins.
Le Cloud fait aujourd'hui partie du quotidien de toutes les sociétés, quelle que soit leur taille. Cela constitue un changement important puisque les serveurs étaient jusqu'à présent situés au sein même de l'entreprise.
Cette solution est particulièrement souple car elle permet à l'utilisateur, en fonction de ses compétences, de gérer soi-même son serveur ou de se simplement utiliser une application de stockage comme dans la majorité des cas. Voici les avantages du cloud :
Le Cloud se caractérise principalement par sa simplicité d'utilisation, sans installation interminable ni mises à jours répétées… Sa prise en main est rapide et le plus souvent très intuitive.
Le cloud est également flexible dans le sens où les capacités de stockage, ainsi que le nombre d'utilisateurs, sont modulables. En fonction de ses besoins, de la taille et de l'évolution de son entreprise, certaines fonctionnalités peuvent être alors ajoutées ou enlevées.
Le Cloud offre une sécurité bien plus importante que les solutions locales installées sur un serveur ou un ordinateur. Stockées dans des datacenters hyper sécurisés, les données sont cryptées et mieux protégées que dans une entreprise.
Des sauvegardes régulières sont par ailleurs réalisées par le prestataire, qui met tout en œuvre afin d'éviter les pannes et les intrusions (contrôle d'accès, fibre optique, gestion logistique évoluée…).
En l'absence de serveur et d'ordinateur puissant à posséder en interne, le Cloud se veut être une solution économique concernant l'acquisition de matériel et sa maintenance.
Les logiciels étant loués, chaque entrepreneur peut accéder à de multiples services, réservés auparavant aux grandes sociétés :
Scanner ses factures et attendre simplement que son tableau de bord soit généré afin de le récupérer : voilà l'un des services proposés par la comptabilité digitale grâce au Cloud ! Un gain de temps dans la gestion quotidienne de votre comptabilité !
Le Cloud est une solution très mobile, vous permettant de travailler partout et à n'importe quel moment sur l'appareil de votre choix, à partir du moment où celui-ci est relié à Internet.
Tous les fichiers sont accessibles en permanence et mis à jour en temps réel sur l’ensemble de vos appareils informatiques.
En cas d'incendie dans vos locaux ou de vol de matériel, il vous suffit de racheter un nouvel ordinateur et de vous connecter au Cloud afin de récupérer l'intégralité de vos données, sans aucune perte. Encore une bonne raison de passer à la comptabilité digitale Contactez-nous pour plus d'informations >>
Par Nadine Neveu |
Les délais pendant lesquels un entrepreneur doit conserver ses archives sont fonction de la nature des pièces concernées. MB&Scott vous indique la période minimale pendant laquelle un entrepreneur doit nécessairement conserver les documents liés à l'activité de son entreprise.
Type de document |
Durée de conservation |
|
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Contrat ou convention conclu dans le cadre d'une relation commerciale, correspondance commerciale |
5 ans |
|
Garantie pour les biens ou services fournis au consommateur |
2 ans |
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Contrat conclu par voie électronique (à partir de 120 €) |
10 ans à partir de la livraison ou de la prestation |
|
Contrat d'acquisition ou de cession de biens immobiliers et fonciers |
30 ans |
|
Document bancaire (talon de chèque, relevé bancaire...) |
5 ans |
|
Document de transport de marchandises |
5 ans |
|
Déclaration en douane |
3 ans |
|
Police d'assurance |
2 ans à partir de la résiliation du contrat |
|
Document relatif à la propriété intellectuelle (dépôt de brevet, marque, dessin et modèle) |
5 ans à partir de la fin de la protection |
|
Dossier d'un avocat |
5 ans à partir de la fin du mandat |
|
Quel document ? |
Quelle durée de conservation |
|
---|---|---|
Livre et registre comptable : livre journal, grand livre, livre d'inventaire... |
10 ans à partir de la clôture de l'exercice |
|
Pièce justificative : bon de commande, de livraison ou de réception, facture client et fournisseur... |
10 ans à partir de la clôture de l'exercice |
|
Type d'impôt |
Durée de conservation |
|
---|---|---|
Impôt sur le revenu et sur les sociétés |
6 ans |
|
Bénéfices industriels et commerciaux (BIC), bénéfices non commerciaux (BNC) et bénéfices agricoles (BA) en régime réel |
6 ans |
|
Impôts sur les sociétés pour l'EIRL, des sociétés à responsabilité limitée (exploitations agricoles, sociétés d'exercice libéral) |
6 ans |
|
Impôts directs locaux (taxes foncières, contribution à l'audiovisuel public) |
6 ans |
|
Cotisation foncière des entreprises (CFE) et CVAE |
6 ans |
|
Taxes sur le chiffre d'affaires (TVA et taxes assimilées, impôt sur les spectacles, taxe sur les conventions d'assurance...) |
6 ans |
|
A savoir : les délais sont portés à 10 ans, en cas d'activité occulte : fraude fiscale, travail dissimulé, absence de déclaration, activité illicite...
Type de document |
Durée de conservation |
|
---|---|---|
Statuts d'une société, d'un GIE ou d'une association (le cas échéant, pièce modificative de statuts) |
5 ans à partir de la perte de personnalité morale (ou radiation du RCS) |
|
Compte annuel (bilan, compte de résultat, annexe...) |
10 ans à partir de la clôture de l'exercice |
|
Traité de fusion et autre acte lié au fonctionnement de la société (+ documents de la société absorbée) |
5 ans |
|
Registre de titres nominatifs. Registre des mouvements de titres. Ordre de mouvement. Registre des procès-verbaux d'assemblées et de conseils d'administration. |
5 ans à partir de la fin de leur utilisation |
|
Feuille de présence et pouvoirs. Rapport du gérant ou du conseil d'administration. Rapport des commissaires aux comptes. |
3 derniers exercices |
|
Type de document |
Durée de conservation |
|
---|---|---|
Bulletin de paie (double papier ou sous forme électronique) |
5 ans |
|
Registre unique du personnel |
5 ans à partir du départ du salarié |
|
Document concernant les contrats de travail, salaires, primes, indemnités, soldes de tout compte, régimes de retraite... |
5 ans |
|
Document relatif aux charges sociales et à la taxe sur les salaires |
3 ans |
|
Comptabilisation des jours de travail des salariés sous convention de forfait |
3 ans |
|
Comptabilisation des horaires des salariés, des heures d'astreinte et de leur compensation |
1 an |
|
Observation ou mise en demeure de l'inspection du travail Vérification et contrôle du CHSCT |
5 ans |
|
Déclaration d'accident du travail auprès de la caisse primaire d'assurance maladie |
5 ans |
|
Par Nicolas Chabin |
Les sociétés concernées par les acomptes semestriels de TVAsont celles relevant du régime réel simplifié d’imposition.
Cependant, le paiement des acomptesn’est exigible que si la TVAdue au titre de l’exercice précédent estsupérieure ou égale à 1.000€. Dans le cas contraire, l’entreprise est dispensée du versement des acomptes.
Autre particularité, lorsque la TVAexigible au cours de l’exercice précédent est supérieure à 15.000€, l’entreprise est tenue de déposer une déclaration mensuelle.
Les acomptes semestriels de TVA se calculent de la façon suivante :
TVA due au titre de l’exercice précédent + TVA déductible sur les immobilisations au titre de la même période
Les acomptes sont à payer en juillet et en décembre et leur montant est de :
Depuis le 1eroctobre 2014, tous les redevables de la TVA ont une obligation de télédéclaration et de télérèglement.
Note: les acomptessont toujours baséspar rapport à la dernière déclaration CA12qui a été déposée.
Les entreprises venant d'être crééesreçoivent des avis d’acompte de TVA vierges. L’administration fiscale n'est en effet pas en mesure de calculer un acompte ou de prévoir que l’entreprise en sera dispensée puisqu'elle n’a aucun historique.
L’entreprisedoit donc calculer elle-même le montant à payerde façon relativement précise, l’acomptedevant correspondre au minimum à 80% du montant de la TVA réellement due au titre de la période déclarée. Une erreur d'appréciationa pour conséquence l'application d'une majoration.
Dans certains cas, il est possible de suspendreou de moduler le montantd'un acompte de TVA.
La suspension d'un acompte de TVA est possiblesi l’entreprise estime que les acomptes déjà versés atteignent le montant total de la TVA due au titre de la période de référence.
Mais attention, dans le cas où la TVA finalement exigibleserait supérieure de plus de 30% au montant des acomptes versés, l’entreprise s'expose à des intérêts de retard et à une majoration.
Il est possible de revoir à la baisse le montant d'un acompte de TVAdans les cas suivants :
Précision: un acompte peut également être revu à la haussesi l’entreprise estime que la TVA réellement due au titre de la période déclarée est supérieure de plus de 10% au montant de l’acompte prévu.
Les versements semestriels des acomptes de TVAdoivent être anticipés et provisionnésafin de ne pas mettre à mal la trésorerie de votre entreprise. Pour être certain d'opter pour le bon régime d'imposition et avoir la garantie de ne pas oublier d'effectuer vos déclarations, l'aide d'un expert-comptable est essentielle. Profitez de 20 minutes de conseil offertes pour nous poser toutes vos questions !
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Par Nicolas Chabin |
Je m'appelle Bobe CHOIMET, je suis le directeur de la société Instant Béton SAS.
Nous travaillions dans le secteur du bâtiment.
Nous sommes deux associés, nous gérons l'entreprise ensemble.
Nous nous chargeons de l'amélioration des extérieurs de l'habitat. Notre mission consiste à rénover les revêtements des sols et des murs pour créer un environnement sain et agréable pour tous.
Nos clients sont avant tout des particuliers, mais nous travaillons aussi avec des professionnels en sous-traitance à mi-temps car nous sommes déjà salariés d'une entreprise dans ce domaine.
Le matin nous gérons l'aspect stratégique et administratif de l'entreprise, les après-midis nous sommes sur les chantiers où nous effectuons des visites auprès de nos clients et de nos partenaires.
Notre objectif principal est de développer Instant Béton au maximum. Pour cela, nous cherchons à accumuler les chantiers et les contacts dans le but de devenir autonome à plein temps.
Notre principale problématique est de pouvoir trouver des intérimaires compétents dans notre domaine. Notre cœur de métier exige d'accomplir des tâches très spécifiques et techniques.
Olivier ANDRIEU : "Aider mes clients à faire en sorte que leur site soit mieux visible sur Google"
Nous avons créé notre société il y'a quelques mois, du coup nous n'avons pas d'ancienne solution comptable. Nous avons choisi MB&Scott pour nous décharger de la comptabilité car nous avons peu de temps à y consacrer et ce n'est pas notre métier.
La comptabilité, c'est assez éloigné de notre cœur de métier. Nous ne connaissions pas toutes les obligations légales liées à notre forme juridique. Vu que notre entreprise est récente, nous avons voulu nous éviter toute problématique sur ce domaine de compétence en sous-traitant.
Nous avons choisi MB&Scott car nous avons pu avoir un compromis intéressant avec eux suite aux démarches de création d'entreprise effectuées avec l'aide d'un site partenaire.
La comptabilité mensuelle (notamment la TVA) est effectuée dans les temps, et si nous avons une demande spécifique, il suffit de leur demander. Nous avons choisi la formule à la carte qui évolue en même temps que notre entreprise.
L'aspect de la réactivité au besoin du client, parfois urgent, est une amélioration certaine sachant que tout est dématérialisé.
Les tarifs attractifs et à la carte des services proposés sachant que le plus difficile est de se munir d'un bon scanner afin de tout dématérialiser une fois par mois pour leur déposer dans l'espace pro. Mise à part cet effort là, c'est vraiment pratique d'avoir une interface unique pour tout.
Nous n'avons pas à prendre rendez-vous et à nous déplacer pour déposer les documents. La dématérialisation permet d'avoir automatiquement un double de chaque document et une traçabilité écrite des échanges.
Jusqu'à aujourd'hui, je n'ai rien à redire de ce cabinet on-line qui est toujours à l'écoute de nos besoins et qui peut nous soutenir pour certaines démarches inattendues.
Par Gaëtane |
Créer sa start up s’apparente plus à une course de marathon qu’à une promenade de santé :l’entrepreneur doit modéliser son hypothèse, tester son modèle, évaluer la valeur ajoutée apportée. Maryse, conseillère chez MB&Scott auprès des start-up en phase d’amorçage ne cesse de le répéter : “L’entreprise se façonne sur le terrain et par le terrain ! ”>
Une création de « start-up » exige une somme de travail importante, un investissement personnel total, et une somme d’argent conséquente. MB&Scott fait ici le point sur les 7 étapes qui lui semble indispensables pour vous conseiller au mieux.
Il est temps de combattre une idée reçue : un projet de start-up ne part pas souvent d’une idée géniale mais plutôt se construit à partir d’une expérience vécue à laquelle le futur entrepreneur envisage une réponse pour le coup innovante. Ainsi MB&Scott est-il né de l’expérience de jeunes entrepreneurs exaspérés de perdre du temps avec l’administratif, la comptabilité, le juridique et la recherche de l'expert idéal. L’entrepreneur doit avoir une idée innovante et s’assurer que personne n’y ait pensé avant. Simplement se poser la question « est-ce que mon offre répond à un besoin identifié ? »
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Une fois l’idée trouvée, la segmentation de la clientèle est le point de départ de votre création de société. Une fois que vous avez cerné le périmètre du projet, vous pourrez alors entamer le premier volet de votre business model. Vous chercherez en effet toujours à cibler une certaine catégorie de clientèle.
Une fois votre segmentation terminée, il faudra vous demander quelle valeur allez-vous apporter à vos clients. Il s’agit pour vous de formuler une proposition de plus value qui vous permettra de vous différencier de vos concurrents. En effet, vous serez le nouveau venu sur votre segment de marché, et si vous n’apportez pas une plus-value originale, il faudra vous demander pourquoi votre client devrait vous privilégier. Votre proposition de valeur devra répondre donc à ces 2 questions essentielles : est-ce que ma proposition de valeur apporte un bénéfice à mon futur client et peut-on quantifier les résultats de ma solution. Autrement énoncé, il faut que le bénéfice que retire le client en achetant votre solution soit supérieur à son investissement. Votre création de valeur se placera ainsi au coeur de votre business model.
Le business model est ce qui vous permetta de convaincre les investisseurs de parier sur vous. Il peut se résumer à cette question : “comment vais-je gagner de l’argent?”. En définitive, le business model est la “profession de foi” de l’entrepreneur. De cela découlera votre business plan et finalement la stratégie globale de votre start-up.
Une fois conçu votre business model, vient le temps de construire votre business plan. Celui-ci viendra valider le business model grâce à des hypothèses et des données chiffrées. Il s'agit d'un dossier qui démontre la solidité de votre projet en exposant ses points clés de manière claire et synthétique. Le business plan a plus précisément pour but de séduire les éventuels investisseurs et les banquiers en démontrant que votre projet offre un réel potentiel stratégique et financier.
Le business plan deviendra également pour vous un document de référence dans les premiers mois d'activité. Comme une feuille de route, il vous permettra de vérifier si vous êtes en phase avec les prévisions définies (plan d'actions à mettre en oeuvre, budgets à respecter...).
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Une start-up a la réputation d’avoir un besoin en fonds de roulement important, et ce, dès sa phase d’amorçage. D’autres levées de fonds successives seront ensuite nécessaires pour accompagner le croissance exponentielle de votre start-up.
Dans ces conditions, solliciter des investisseurs tels que les “business angels” semblera nettement plus judicieux que le classique crédit bancaire. Muni de votre business plan en guise de viatique, vous devrez développer un pitch argumentaire efficace et rapide pour susciter l’intérêt de potentiels investisseurs ou business angels. C’est là que tout le travail en amont à concevoir un business model prendra toute sa mesure.
Pour reprendre la métaphore du coureur de fond, il faut à tout prix ne pas y aller seul. Il est d’usage de juger de la qualité de l’entrepreneur sur sa capacité de savoir s’entourer. C’est encore plus vrai pour le créateur de start up. Et pourquoi ne pas choisir un cabinet d'entrepreneurs renforcé par un pool d'experts? Entrepreneurs au service des entrepreneurs, MB&Scott est devenu le spécialiste du lancement des start-ups. Sa parfaite maîtrise de toutes les étapes de la création et sa connaissance des métiers back office vous apporteront un maximum de chances de réussite dans la création et le développement de votre start up.
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Les cabinets comptables doivent être en mesure, comme dans les secteurs de la banque ou de la fiscalité, de répondre aux demandes de leurs clients concernant l'automatisation de la saisie, la transmission des documents, la gestion des fiches de paie en ligne, l'archivage numérique des documents…
Un bon expert-comptable digital a donc tout intérêt à fournir des solutions logicielles performantes et intuitives, ainsi qu'une application mobile simple à utiliser. Entouré par une équipe de professionnels (informaticien, développeur d'application…), l'expert-comptable 2.0 doit savoir s'adapter aux nouvelles technologies présentes sur le marché, afin de mettre à la disposition de ses clients des outils pour gérer leur comptabilité en temps réel.
Tous ces services sont regroupés sur un portail web sécurisé, permettant une communication simplifiée avec le client et un travail collaboratif. Il est ainsi possible d'accéder à son dossier à n’importe quel moment, y compris depuis un téléphone portable. Les transferts de documents dématérialisés se font alors de manière sécurisée et en toute confidentialité.
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Il est donc indispensable de pouvoir obtenir des réponses précises à des questions journalières simples, ou plus techniques, au travers d'un dialogue avec une personne physique compétente. La véritable plus-value apportée par un bon expert-comptable digital va donc être le niveau d'exigence de son support client.
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Lorsque l'on débute en comptabilité, il est essentiel de comprendre les différences entre ces deux éléments.
La trésorerie a une réalité physique. Elle représente des sommes d’argent disponibles, c’est-à-dire qui appartiennent réellement à une société. Pour être clair, vous pouvez vous rendre à la banque, retirer cet argent et le "toucher" physiquement. Le cash-flow est donc l'essentiel dans une entreprise puisqu'il correspond à ce qu'il y a véritablement sur votre compte bancaire.
Le résultat, pour sa part, n'a pas d'existence réelle. C’est simplement une donnée résultant de règles comptables précises. En outre, une société peut tout à fait enregistrer une perte (résultat négatif) mais disposer par ailleurs d’une trésorerie importante.
Le résultat en comptabilité ne se base pas sur la trésorerie encaissée ou décaissée au cours de l’exercice. Les comptes reposent sur le système de l’engagement. Cette méthode est assez simple à appréhender : les charges et les produits engagés au cours de l'exercice sont comptabilisés, quelles que soient leur date d'exécution réelle.
Pour prendre un exemple concret : supposons que vous clôturez votre exercice au 31 décembre de l'année n. Vous envoyez une facture de 1.000 € à un client le 20 décembre et ce dernier ne vous paye que le 15 janvier de l'année n+1. En comptabilité, votre résultat au 31 décembre de l'année n, sera amélioré de 1.000 €. Mais votre trésorerie non, puisque vous ne serez réglé que 15 jours plus tard, en n+1.
Il existe une différence significative entre le montant de la trésorerie et le solde du résultat comptable. En effet, certaines opérations affectent seulement la trésorerie. Il s’agit par exemple des :
Les charges calculées, ou charges non-décaissables, sont totalement exclues de la trésorerie :
Les produits considérés comme non-encaissables n’augmentent pas non plus la trésorerie :
L'amortissement joue donc ici un rôle essentiel. Dans le cas d'un investissement concernant une machine d'une valeur de 30.000€, achetée le 1er janvier avec ses fonds propres et amortie sur 5 ans. L'impact sur la trésorerie est immédiat avec une sortie d'argent de 30.000€. Le matériel ne passant pas directement en charges, le compte de résultat sera impacté d'1/5 par an, soit 6.000€, pendant 5 ans.
La trésorerie et le résultat en comptabilité sont très différents. Afin de ne pas vous tromper, tenez régulièrement à jour votre tableau de bord. Vous pourrez ainsi analyser et interpréter correctement ces deux éléments.
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Si vous n’êtes pas encore client MB, c’est le moment de vous lancer si vous avez besoin de :
Par Nicolas Chabin |
En dématérialisant votre comptabilité grâce au Cloud, vous faites le choix de la sécurité, de la simplicité, mais également de la flexibilité. Votre comptabilité en ligne vous permet en effet de travailler depuis n'importe où, 24h/24, à partir d'un ordinateur, d'une tablette ou encore d'un smartphone connecté à Internet. MB&Scott vous en dit plus sur cette solution vous permettant de gagner en productivité grâce à l'automatisation de nombreuses tâches.
Le Cloud (nuage en français) est une solution informatique basée sur la puissance de stockage et de calcul de serveurs informatiques distants (les datacenters). Ceux-ci sont accessibles via un réseau, le plus souvent Internet. Le Cloud permet ainsi de "louer" de l'espace de stockage à la demande, en fonction de ses besoins.
Le Cloud fait aujourd'hui partie du quotidien de toutes les sociétés, quelle que soit leur taille. Cela constitue un changement important puisque les serveurs étaient jusqu'à présent situés au sein même de l'entreprise.
Cette solution est particulièrement souple car elle permet à l'utilisateur, en fonction de ses compétences, de gérer soi-même son serveur ou de se simplement utiliser une application de stockage comme dans la majorité des cas. Voici les avantages du cloud :
Le Cloud se caractérise principalement par sa simplicité d'utilisation, sans installation interminable ni mises à jours répétées… Sa prise en main est rapide et le plus souvent très intuitive.
Le cloud est également flexible dans le sens où les capacités de stockage, ainsi que le nombre d'utilisateurs, sont modulables. En fonction de ses besoins, de la taille et de l'évolution de son entreprise, certaines fonctionnalités peuvent être alors ajoutées ou enlevées.
Le Cloud offre une sécurité bien plus importante que les solutions locales installées sur un serveur ou un ordinateur. Stockées dans des datacenters hyper sécurisés, les données sont cryptées et mieux protégées que dans une entreprise.
Des sauvegardes régulières sont par ailleurs réalisées par le prestataire, qui met tout en œuvre afin d'éviter les pannes et les intrusions (contrôle d'accès, fibre optique, gestion logistique évoluée…).
En l'absence de serveur et d'ordinateur puissant à posséder en interne, le Cloud se veut être une solution économique concernant l'acquisition de matériel et sa maintenance.
Les logiciels étant loués, chaque entrepreneur peut accéder à de multiples services, réservés auparavant aux grandes sociétés :
Scanner ses factures et attendre simplement que son tableau de bord soit généré afin de le récupérer : voilà l'un des services proposés par la comptabilité digitale grâce au Cloud ! Un gain de temps dans la gestion quotidienne de votre comptabilité !
Le Cloud est une solution très mobile, vous permettant de travailler partout et à n'importe quel moment sur l'appareil de votre choix, à partir du moment où celui-ci est relié à Internet.
Tous les fichiers sont accessibles en permanence et mis à jour en temps réel sur l’ensemble de vos appareils informatiques.
En cas d'incendie dans vos locaux ou de vol de matériel, il vous suffit de racheter un nouvel ordinateur et de vous connecter au Cloud afin de récupérer l'intégralité de vos données, sans aucune perte. Encore une bonne raison de passer à la comptabilité digitale Contactez-nous pour plus d'informations >>
Par Nadine Neveu |
Les délais pendant lesquels un entrepreneur doit conserver ses archives sont fonction de la nature des pièces concernées. MB&Scott vous indique la période minimale pendant laquelle un entrepreneur doit nécessairement conserver les documents liés à l'activité de son entreprise.
Type de document |
Durée de conservation |
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Contrat ou convention conclu dans le cadre d'une relation commerciale, correspondance commerciale |
5 ans |
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Garantie pour les biens ou services fournis au consommateur |
2 ans |
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Contrat conclu par voie électronique (à partir de 120 €) |
10 ans à partir de la livraison ou de la prestation |
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Contrat d'acquisition ou de cession de biens immobiliers et fonciers |
30 ans |
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Document bancaire (talon de chèque, relevé bancaire...) |
5 ans |
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Document de transport de marchandises |
5 ans |
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Déclaration en douane |
3 ans |
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Police d'assurance |
2 ans à partir de la résiliation du contrat |
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Document relatif à la propriété intellectuelle (dépôt de brevet, marque, dessin et modèle) |
5 ans à partir de la fin de la protection |
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Dossier d'un avocat |
5 ans à partir de la fin du mandat |
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Quel document ? |
Quelle durée de conservation |
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Livre et registre comptable : livre journal, grand livre, livre d'inventaire... |
10 ans à partir de la clôture de l'exercice |
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Pièce justificative : bon de commande, de livraison ou de réception, facture client et fournisseur... |
10 ans à partir de la clôture de l'exercice |
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Type d'impôt |
Durée de conservation |
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Impôt sur le revenu et sur les sociétés |
6 ans |
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Bénéfices industriels et commerciaux (BIC), bénéfices non commerciaux (BNC) et bénéfices agricoles (BA) en régime réel |
6 ans |
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Impôts sur les sociétés pour l'EIRL, des sociétés à responsabilité limitée (exploitations agricoles, sociétés d'exercice libéral) |
6 ans |
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Impôts directs locaux (taxes foncières, contribution à l'audiovisuel public) |
6 ans |
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Cotisation foncière des entreprises (CFE) et CVAE |
6 ans |
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Taxes sur le chiffre d'affaires (TVA et taxes assimilées, impôt sur les spectacles, taxe sur les conventions d'assurance...) |
6 ans |
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A savoir : les délais sont portés à 10 ans, en cas d'activité occulte : fraude fiscale, travail dissimulé, absence de déclaration, activité illicite...
Type de document |
Durée de conservation |
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Statuts d'une société, d'un GIE ou d'une association (le cas échéant, pièce modificative de statuts) |
5 ans à partir de la perte de personnalité morale (ou radiation du RCS) |
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Compte annuel (bilan, compte de résultat, annexe...) |
10 ans à partir de la clôture de l'exercice |
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Traité de fusion et autre acte lié au fonctionnement de la société (+ documents de la société absorbée) |
5 ans |
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Registre de titres nominatifs. Registre des mouvements de titres. Ordre de mouvement. Registre des procès-verbaux d'assemblées et de conseils d'administration. |
5 ans à partir de la fin de leur utilisation |
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Feuille de présence et pouvoirs. Rapport du gérant ou du conseil d'administration. Rapport des commissaires aux comptes. |
3 derniers exercices |
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Type de document |
Durée de conservation |
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Bulletin de paie (double papier ou sous forme électronique) |
5 ans |
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Registre unique du personnel |
5 ans à partir du départ du salarié |
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Document concernant les contrats de travail, salaires, primes, indemnités, soldes de tout compte, régimes de retraite... |
5 ans |
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Document relatif aux charges sociales et à la taxe sur les salaires |
3 ans |
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Comptabilisation des jours de travail des salariés sous convention de forfait |
3 ans |
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Comptabilisation des horaires des salariés, des heures d'astreinte et de leur compensation |
1 an |
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Observation ou mise en demeure de l'inspection du travail Vérification et contrôle du CHSCT |
5 ans |
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Déclaration d'accident du travail auprès de la caisse primaire d'assurance maladie |
5 ans |
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Par Nicolas Chabin |
Les sociétés concernées par les acomptes semestriels de TVAsont celles relevant du régime réel simplifié d’imposition.
Cependant, le paiement des acomptesn’est exigible que si la TVAdue au titre de l’exercice précédent estsupérieure ou égale à 1.000€. Dans le cas contraire, l’entreprise est dispensée du versement des acomptes.
Autre particularité, lorsque la TVAexigible au cours de l’exercice précédent est supérieure à 15.000€, l’entreprise est tenue de déposer une déclaration mensuelle.
Les acomptes semestriels de TVA se calculent de la façon suivante :
TVA due au titre de l’exercice précédent + TVA déductible sur les immobilisations au titre de la même période
Les acomptes sont à payer en juillet et en décembre et leur montant est de :
Depuis le 1eroctobre 2014, tous les redevables de la TVA ont une obligation de télédéclaration et de télérèglement.
Note: les acomptessont toujours baséspar rapport à la dernière déclaration CA12qui a été déposée.
Les entreprises venant d'être crééesreçoivent des avis d’acompte de TVA vierges. L’administration fiscale n'est en effet pas en mesure de calculer un acompte ou de prévoir que l’entreprise en sera dispensée puisqu'elle n’a aucun historique.
L’entreprisedoit donc calculer elle-même le montant à payerde façon relativement précise, l’acomptedevant correspondre au minimum à 80% du montant de la TVA réellement due au titre de la période déclarée. Une erreur d'appréciationa pour conséquence l'application d'une majoration.
Dans certains cas, il est possible de suspendreou de moduler le montantd'un acompte de TVA.
La suspension d'un acompte de TVA est possiblesi l’entreprise estime que les acomptes déjà versés atteignent le montant total de la TVA due au titre de la période de référence.
Mais attention, dans le cas où la TVA finalement exigibleserait supérieure de plus de 30% au montant des acomptes versés, l’entreprise s'expose à des intérêts de retard et à une majoration.
Il est possible de revoir à la baisse le montant d'un acompte de TVAdans les cas suivants :
Précision: un acompte peut également être revu à la haussesi l’entreprise estime que la TVA réellement due au titre de la période déclarée est supérieure de plus de 10% au montant de l’acompte prévu.
Les versements semestriels des acomptes de TVAdoivent être anticipés et provisionnésafin de ne pas mettre à mal la trésorerie de votre entreprise. Pour être certain d'opter pour le bon régime d'imposition et avoir la garantie de ne pas oublier d'effectuer vos déclarations, l'aide d'un expert-comptable est essentielle. Profitez de 20 minutes de conseil offertes pour nous poser toutes vos questions !
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Par Nicolas Chabin |
Je m'appelle Bobe CHOIMET, je suis le directeur de la société Instant Béton SAS.
Nous travaillions dans le secteur du bâtiment.
Nous sommes deux associés, nous gérons l'entreprise ensemble.
Nous nous chargeons de l'amélioration des extérieurs de l'habitat. Notre mission consiste à rénover les revêtements des sols et des murs pour créer un environnement sain et agréable pour tous.
Nos clients sont avant tout des particuliers, mais nous travaillons aussi avec des professionnels en sous-traitance à mi-temps car nous sommes déjà salariés d'une entreprise dans ce domaine.
Le matin nous gérons l'aspect stratégique et administratif de l'entreprise, les après-midis nous sommes sur les chantiers où nous effectuons des visites auprès de nos clients et de nos partenaires.
Notre objectif principal est de développer Instant Béton au maximum. Pour cela, nous cherchons à accumuler les chantiers et les contacts dans le but de devenir autonome à plein temps.
Notre principale problématique est de pouvoir trouver des intérimaires compétents dans notre domaine. Notre cœur de métier exige d'accomplir des tâches très spécifiques et techniques.
Olivier ANDRIEU : "Aider mes clients à faire en sorte que leur site soit mieux visible sur Google"
Nous avons créé notre société il y'a quelques mois, du coup nous n'avons pas d'ancienne solution comptable. Nous avons choisi MB&Scott pour nous décharger de la comptabilité car nous avons peu de temps à y consacrer et ce n'est pas notre métier.
La comptabilité, c'est assez éloigné de notre cœur de métier. Nous ne connaissions pas toutes les obligations légales liées à notre forme juridique. Vu que notre entreprise est récente, nous avons voulu nous éviter toute problématique sur ce domaine de compétence en sous-traitant.
Nous avons choisi MB&Scott car nous avons pu avoir un compromis intéressant avec eux suite aux démarches de création d'entreprise effectuées avec l'aide d'un site partenaire.
La comptabilité mensuelle (notamment la TVA) est effectuée dans les temps, et si nous avons une demande spécifique, il suffit de leur demander. Nous avons choisi la formule à la carte qui évolue en même temps que notre entreprise.
L'aspect de la réactivité au besoin du client, parfois urgent, est une amélioration certaine sachant que tout est dématérialisé.
Les tarifs attractifs et à la carte des services proposés sachant que le plus difficile est de se munir d'un bon scanner afin de tout dématérialiser une fois par mois pour leur déposer dans l'espace pro. Mise à part cet effort là, c'est vraiment pratique d'avoir une interface unique pour tout.
Nous n'avons pas à prendre rendez-vous et à nous déplacer pour déposer les documents. La dématérialisation permet d'avoir automatiquement un double de chaque document et une traçabilité écrite des échanges.
Jusqu'à aujourd'hui, je n'ai rien à redire de ce cabinet on-line qui est toujours à l'écoute de nos besoins et qui peut nous soutenir pour certaines démarches inattendues.
Par Gaëtane |
Créer sa start up s’apparente plus à une course de marathon qu’à une promenade de santé :l’entrepreneur doit modéliser son hypothèse, tester son modèle, évaluer la valeur ajoutée apportée. Maryse, conseillère chez MB&Scott auprès des start-up en phase d’amorçage ne cesse de le répéter : “L’entreprise se façonne sur le terrain et par le terrain ! ”>
Une création de « start-up » exige une somme de travail importante, un investissement personnel total, et une somme d’argent conséquente. MB&Scott fait ici le point sur les 7 étapes qui lui semble indispensables pour vous conseiller au mieux.
Il est temps de combattre une idée reçue : un projet de start-up ne part pas souvent d’une idée géniale mais plutôt se construit à partir d’une expérience vécue à laquelle le futur entrepreneur envisage une réponse pour le coup innovante. Ainsi MB&Scott est-il né de l’expérience de jeunes entrepreneurs exaspérés de perdre du temps avec l’administratif, la comptabilité, le juridique et la recherche de l'expert idéal. L’entrepreneur doit avoir une idée innovante et s’assurer que personne n’y ait pensé avant. Simplement se poser la question « est-ce que mon offre répond à un besoin identifié ? »
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Une fois l’idée trouvée, la segmentation de la clientèle est le point de départ de votre création de société. Une fois que vous avez cerné le périmètre du projet, vous pourrez alors entamer le premier volet de votre business model. Vous chercherez en effet toujours à cibler une certaine catégorie de clientèle.
Une fois votre segmentation terminée, il faudra vous demander quelle valeur allez-vous apporter à vos clients. Il s’agit pour vous de formuler une proposition de plus value qui vous permettra de vous différencier de vos concurrents. En effet, vous serez le nouveau venu sur votre segment de marché, et si vous n’apportez pas une plus-value originale, il faudra vous demander pourquoi votre client devrait vous privilégier. Votre proposition de valeur devra répondre donc à ces 2 questions essentielles : est-ce que ma proposition de valeur apporte un bénéfice à mon futur client et peut-on quantifier les résultats de ma solution. Autrement énoncé, il faut que le bénéfice que retire le client en achetant votre solution soit supérieur à son investissement. Votre création de valeur se placera ainsi au coeur de votre business model.
Le business model est ce qui vous permetta de convaincre les investisseurs de parier sur vous. Il peut se résumer à cette question : “comment vais-je gagner de l’argent?”. En définitive, le business model est la “profession de foi” de l’entrepreneur. De cela découlera votre business plan et finalement la stratégie globale de votre start-up.
Une fois conçu votre business model, vient le temps de construire votre business plan. Celui-ci viendra valider le business model grâce à des hypothèses et des données chiffrées. Il s'agit d'un dossier qui démontre la solidité de votre projet en exposant ses points clés de manière claire et synthétique. Le business plan a plus précisément pour but de séduire les éventuels investisseurs et les banquiers en démontrant que votre projet offre un réel potentiel stratégique et financier.
Le business plan deviendra également pour vous un document de référence dans les premiers mois d'activité. Comme une feuille de route, il vous permettra de vérifier si vous êtes en phase avec les prévisions définies (plan d'actions à mettre en oeuvre, budgets à respecter...).
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Une start-up a la réputation d’avoir un besoin en fonds de roulement important, et ce, dès sa phase d’amorçage. D’autres levées de fonds successives seront ensuite nécessaires pour accompagner le croissance exponentielle de votre start-up.
Dans ces conditions, solliciter des investisseurs tels que les “business angels” semblera nettement plus judicieux que le classique crédit bancaire. Muni de votre business plan en guise de viatique, vous devrez développer un pitch argumentaire efficace et rapide pour susciter l’intérêt de potentiels investisseurs ou business angels. C’est là que tout le travail en amont à concevoir un business model prendra toute sa mesure.
Pour reprendre la métaphore du coureur de fond, il faut à tout prix ne pas y aller seul. Il est d’usage de juger de la qualité de l’entrepreneur sur sa capacité de savoir s’entourer. C’est encore plus vrai pour le créateur de start up. Et pourquoi ne pas choisir un cabinet d'entrepreneurs renforcé par un pool d'experts? Entrepreneurs au service des entrepreneurs, MB&Scott est devenu le spécialiste du lancement des start-ups. Sa parfaite maîtrise de toutes les étapes de la création et sa connaissance des métiers back office vous apporteront un maximum de chances de réussite dans la création et le développement de votre start up.
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